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Lesoldat de 38 ans, né à Nîmes et sous-officier au 4e régiment d'hélicoptères des forces spéciales de l'Armée de terre, se trouvait à bord d'un hélicoptère Caracal, qui s'est écrasé
Maispour les unites des forces spéciales, qu’elle soient issues de l’armée de Terre, de la Marine et de l’armée de l’Air, on pourrait tout aussi dire : « pas un pas sans hélicoptères ». C’est dire l’importance du 4e RHFS pour le Commandement des opérations spéciales (COS), illustrée par le devise de ce régiment : « Nulle part sans nous ».
Sujet L’escadrille des forces spéciales 2022-02-23, 09:22. Quinze équipiers de l’escadrille des opérations spéciales n°7 du 4e régiment d’hélicoptères des forces spéciales ont participé à un stage d’aguerrissement commando, du 6 au 17 septembre. Une préparation renforcée pour ces nouvelles recrues engagées au plus près
Il4e Régiment d'hélicoptères des Forces Spéciales è una unità dell'Armée de terre francese costituita nell'agosto del 2009 da un distaccamento di una unità dell'Aviation légère de l'armée de terre già destinata dal 1997 a supporto delle forze speciali francesi. L'unità è di base a Pau (Francia) nei Pirenei e dipende dal comando per le operazioni speciali.
Lexercice Garuda s'est déroulé du 14 au 25 octobre 2013, au camp de Ger près de Tarbes. Premier du genre, l'exercice Garuda a offert l'opportunité d'entrainer les unités de la brigade des forces spéciales Terre de façon réaliste et intense, avec des moyens importants. Un transal C160 de l'escadron de transport Poitou ainsi que quatre hélicoptères du 4e
Site De Rencontre Nord Pas De Calais. Le chef de bataillon du 4e régiment d’hélicoptères des Forces spéciales, le français Damien BOITEUX est décédé dans sa 41ème année, 11 janvier 2013, lors de la première phase de l’opération Serval consistant, en appui des forces armées maliennes, à stopper l’avancée des groupes djihadistes vers le Sud du Mali. Né le 24 novembre 1971, il aura servi la France durant 22 ans. A 19 ans, il s’engage le 1er janvier 1991 en qualité d’élève sous-officier à l’école nationale des sous-officiers d’active ENSOA de Saint-Maixent. A l’issue d’une brillante formation initiale, il rejoint l’école d’application de l’aviation légère de l’armée de Terre de DAX le 5 août 1991. Il est nommé sergent le 1er avril 1992. Breveté pilote, il est affecté au 1er régiment d’hélicoptères de combat de Phalsbourg le 9 juin 1992. Le Parisien annonce son décès en publiant l’article Mali un pilote français tué lors d'un raid aérien ». Il y est rapporté que L'intervention militaire de la France au Mali a coûté la vie à l'un de nos soldats. Le ministre de la Défense Jean-Yves Le DRIAN a révélé ce samedi qu'un pilote d'hélicoptère français de 41 ans, Damien BOITEUX, a été tué lors du raid aérien mené vendredi par l'armée tricolore à Konna, cette ville du centre du pays à 700 km de Bamako que des insurgés islamistes avaient pris d'assaut la veille ». Par ailleurs l’article souligne que Le pilote, qui appartenait au 4e régiment d'hélicoptères de combat RHC de Pau, a été mortellement blessé par une arme légère d'infanterie» alors qu'il se trouvait à bord d'un engin de type Gazelle, a précisé Jean-Yves Le DRIAN. Il n'est pas mort sur le coup et a d'abord été évacué vers la structure médicale la plus proche avant de succomber à ses blessures» ». Dans son article Mali après la mort rapide d'un officier, l'opération militaire s'annonce compliquée », Le Monde annonce qu’ Un pilote du 4e Régiment d'hélicoptères des forces spéciales de Pau est mort, vendredi 11 janvier dans l'après-midi, dans les premières heures de l'engagement français au nord-Mali, a annoncé le ministre de la défense samedi matin. Le lieutenant Damien BOITEUX, chef de bord de l'appareil, a été touché à l'artère fémorale et il est décédé des suites de ses blessures lors de son transfert à l'hôpital de Mopti, a annoncé l'état-major. Il s'agit du premier mort de l'opération, baptisée Serval », qui vise depuis 24 heures à stopper l'avancée des groupes islamistes Mouvement pour l'unicité et le djihad en Afrique de l'Ouest Mujao, Al-Qaïda au Maghreb islamique AQMI et Ansar Eddine ont uni leurs forces pour lancer, jeudi, hors de leurs bastions touaregs du nord du pays, une offensive coordonnée vers le sud du pays ». De nombreuses personnes ont rendu hommage à Damien Boiteux.
Le 4e régiment d'hélicoptères des forces spéciales organise un exercice tactique avec le 35e RAP sur Tarbes et ses environs ce mardi soir. Quatre hélicoptères de combat vont réaliser des déposes et des récupérations sur plusieurs sites au coeur de l'agglomération. Pas d'inquiétude à nourrir à la vue d'engins militaires dans le ciel tarbais ce mardi soir. L'agglomération de Tarbes est en effet le théâtre d'un exercice tactique mené par la 4e RHFS de Pau conjointement avec le 35e Régiment d'artilleurs parachutistes de Tarbes. Plusieurs sites dont l'aérodrome de Laloubère, un stade de rugby et des emprises du 35e RAP sont ciblés afin de réaliser des déposes et des récupérations de personnels et de matériel. "Cette activité particulière et très ponctuelle a pour but de pouvoir entraîner nos équipages de combat à réaliser des missions tactiques dans un environnement urbain qui demeure très complexe à maîtriser" détaille le 4e RHFS. Quatre appareils doivent survoler Tarbes jusqu'à 23 heures ce soir. / Photo Andy Barréjot Quatre hélicoptères de combat arrivant de Pau doivent participer à cet exercice qui va s'étirer jusqu'à 23 heures ce mardi soir. "Cette manoeuvre tiendra compte du risque de nuisances sonores en limitant au maximum et dans la mesure du possible, le survol prolongé des habitations" précise le régiment. Quatre appareils doivent survoler Tarbes jusqu'à 23 heures ce soir. / Photo Andy Barréjot Depuis 16 heures, les hélicoptères ont entamé leurs manoeuvres au-dessus de Tarbes, dans un bourdonnement constant. Des engins qui réalisent des mouvements spectaculaires à quelques mètres de haut seulement, dans un ballet aérien maîtrisé, coiffant les immeubles du centre-ville, sous le regard des habitants curieux et impressionnés, le nez en l'air.
Un visuel du futur NH90 Standard 2 présenté l’an dernier au salon du Bourget Crédits FOB Le ministère des Armées a passé commande pour 10 hélicoptères NH90 Caïman portés au standard 2. Ces appareils contribueront au rajeunissement de la flotte du 4e régiment d’hélicoptères des forces spéciales 4e RHFS de Pau. De la charge pour Airbus Helicopters, Thales et Safran Le ministère des Armées a passé commande le 29 septembre dernier à NHIndustries de 10 hélicoptères NH90 pour équiper le 4e régiment d’hélicoptères de forces spéciales », annonçait hier la ministre des Armées Florence Parly lors d’une audition parlementaire sur le PLF 2021. La phase d’essais en vol et de qualification du NH90 standard 2 débutera en 2023, nous expliquait le GAMSTAT l’an dernier. Les livraisons interviendront en 2025 pour les cinq premiers exemplaires et un an plus tard pour les cinq derniers. Ce contrat ne sourit pas qu’à Airbus Helicopters, actionnaire principal 62,5% de la coentreprise NHIndustries. Thales et Safran seront les équipementiers majeurs et cette commande contribuera à faire vivre les sous-traitants des trois entreprises », ajoute Florence Parly. Airbus Helicopters avait déjà été le grand bénéficiaire du plan de soutien de l’aéronautique dévoilé en juin. L’entreprise de Marignane Bouches-du-Rhône pourra ainsi compter sur les commandes à venir pour 10 H160 pour la Gendarmerie, deux EC-145 pour la sécurité civile et huit Caracal light » pour l’armée de l’Air. Destiné à remplacer des Puma âgés de 43 ans en moyenne, ce Caracal light » sera un peu plus léger’, comme son nom l’indique en terme d’équipements », commentait récemment la DGA. Six machines iront à l’escadron d’hélicoptères 1/67 Pyrénées de la nouvelle Brigade des forces spéciales air BFSA, les deux restantes à l’escadron de transport 88 Larzac stationné à Djibouti. Modèle de NH90 standard 2 exposé durant le salon du Bourget 2019 Un standard non captif des forces spéciales Cette commande permettra aussi de conférer aux forces spéciales les capacités nécessaires tout en harmonisant la flotte d’hélicoptères de l’armée de Terre, ce qui est évidemment très important notamment du point de vue du MCO », souligne la ministre des Armées. La version FS » du Caïman a rapidement été renommée NH90 TFRA standard 2 ». Bien qu’étant destinée en priorité au 4e RHFS, cette évolution n’a en effet pas vocation à rester captive des forces spéciales. Celles-ci joueront leur rôle de de précurseur opérationnel afin que le standard 2 puisse ensuite essaimer vers l’ensemble des 74 Caïman opérés à terme par l’armée de Terre, au plus tard lors de la rénovation à mi-vie des appareils planifiée à l’horizon 2032-2035. L’évolution du Caïman repose essentiellement sur le tryptique caméras grand champ Eurofl’Eye Safran – viseur de casque Top Owl Thales – boule gyrostabilisée EuroFlir 410 Safran. Évalué dans le cadre de l’étude MIRANDA notifiée en 2018, le système Eurofl’Eye repose sur deux ensembles de trois capteurs distribués autour du nez de l’appareil et offrant une perception accrue, en relief et partagée à tout l’équipage de l’environnement immédiat, de jour comme de nuit. D’autres adaptations importantes mais techniquement moins complexes sont envisagées, telles que l’adaptation de la soute aux missions des forces spéciales et l’amélioration de la connectivité par l’ajout de systèmes d’information et de communication spécifiques.
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TIM a passé trois jours avec ces soldats à Pau et dans le Pays leur action combinée, les spécialistes de l’EOS7 appuient l’équipage de l’aéronef dans la réussite de sa que la rentrée scolaire a débuté il y a quelques jours pour les écoliers, une autre plus matinale et sportive, se déroule au quartier CBA Damien Boiteux, à Pau, ce lundi 6 septembre. Ils sont transmetteurs, mécaniciens, spécialistes du renseignement ou encore ravitailleurs tactiques. Tous ont entre cinq et vingt ans de service. Ces quinze nouveaux arrivants du 4e régiment d’hélicoptères de forces spéciales 4e RHFS vont rejoindre l’escadrille des opérations spéciales n°7 EOS7 du régiment, unité en charge d’appuyer leurs camarades sur le terrain et au combat. Ils ignorent le programme des prochains jours, tout comme sa Pyrrhus, moniteur en chef de l’entraînement physique, militaire et sportif et instructeur commando, prend la parole Tout le monde est équipé ? Armement, sacs pesés à 11 kilos ? Ce matin, marche commando. Vous avez deux minutes pour rejoindre le départ. C’est parti ! » Cette épreuve introduit le stage d’aguerrissement commando qui se déroule durant la première phase d’instruction spécialisée M1 du cursus “opérateurs de régiment d’hélicoptères actions spéciales” Orhas cf. encadré. Pendant douze jours consécutifs, ils vont enchaîner les activités dans le Pays basque rappel, navigation, roulage sur sable, combat, missions tactiques de nuit, équipiers de l’escadrille des forces spéciales n°7 du 4e régiment d’hélicoptères des forces spéciales ont participé à un stage d’aguerrissement commando dans le Pays Basque, du 6 au 17 septembre. Celui-ci se déroulerait durant la première phase d’instruction spécialisée du cursus ʺopérateurs de régiment d’hélicoptères actions spécialesʺ. Piste d’audace, rappel, navigation, roulage sur sable, tactique… une préparation renforcée pour ces nouvelles recrues engagées au plus près de leurs camarades dont elles assurent le soutien en opérateurs aguerris14 h 30, citadelle de Bayonne. Les températures s’annoncent très élevées pour cette première journée. Tours de cou relevés jusqu’au nez malgré la chaleur écrasante, les stagiaires débutent les obstacles de la piste d’audace. L’intérêt pour eux est de travailler en équipe, d’apprendre à se connaître et à développer une cohésion au sein du groupe », explique l’adjudant Pyrrhus. L’EOS7 constitue l’escadrille d’appui au commandement et aux opérations du 4e RHFS. Son personnel renforce les autres escadrilles dans plusieurs domaines, tel que le renseignement, les systèmes d’information et de communication, le ravitaillement tactique ou la maintenance terrestre tactique. Les soldats sont amenés à opérer sur les théâtres en totale autonomie, parfois au plus près des année, la volonté est de renforcer le volet de leur aguerrissement. Le commandant Hugues, chef de la cellule d’instruction spécialisée, précise l’importance de disposer d’opérateurs aguerris Chacun doit être bon sur le plan technique et tactique. Engagés loin des bases et en territoire ennemi, tous doivent être prêts à assurer leur protection, à utiliser leur arme et mettre en œuvre des procédures de récupération en cas de besoin ».Pour mener à bien leurs opérations, parfois très loin des bases, les hélicoptères du 4e RHFS doivent pouvoir bénéficier d’un soutien logistique, où qu’ils se trouvent. L’autonomie d’un hélicoptère en vol est limitée. Passé certains délais, l’aéronef doit poser pour se ravitailler en carburant », commente le capitaine Luis, commandant d’unité de l’EOS7. Faute de base à proximité immédiate lors de certaines missions, l’équipage est contraint de poser dans des zones non sécurisées, parfois en plein désert, comme c’est le cas au Mali. Une position au sol vulnérable, qu’il convient d’abréger autant que vertical d’un silo sur le parcours en pendulaire par le puits ou par les rampes de la maquette d’orientation de nuit dans la citadelle de Bayonne. Le Farp, un outil essentielC’est dans ce contexte qu’est créé un Farp point de ravitaillement tactique avancé, armé par les spécialistes de l’EOS7 qui forment la cellule de mise en œuvre CelMO. Par leur action combinée, ils appuient l’équipage de l’aéronef dans la réussite de sa mission. On retrouve parmi eux un ravitailleur tactique pour effectuer le plein en carburant, des transmetteurs pour assurer les communications avec le poste de commandement ou encore un opérateur renseignement pour briefer l’équipage sur la situation ou exploiter les premiers éléments de renseignement. Leur action est indispensable. Placé en amont ou en aval de la zone d’action, le Farp permet à l’hélicoptère, soit de poursuivre sa mission si son objectif se trouve au-delà de la distance déjà parcourue, soit de rejoindre sa base initiale, une fois la mission terminée, le tout rapidement. La CelMO s’est développée entre 2013 lors de l’engagement au Mali, et opérateurs sont équipés de "blue guns", faisant office d' en kayak sur 5 km. En 2014, l’équipier renseignement envoyait ses comptes- rendus à la CelMO depuis la base opérationnelle avancée. Aujourd’hui, il est sur le Farp avec les autres », explique le capitaine Luis. Un outil essentiel qui s’adapte selon le théâtre et la mission. En cas de danger chimique suspecté, par exemple, un spécialiste NRBC peut venir compléter l’équipe. Demain, nous aurons peut-être des “dronistes“ », projette le capitaine. Un Farp peut être mis en œuvre par les airs ou par voie terrestre. Les équipiers n’étant pas tous parachutistes, c’est cette dernière option qui reste le mode d’insertion privilégié, d’où la nécessité d’être qualifiés sur des véhicules pouvant être insérés dans des patrouilles des forces cursus OrhasTout nouvel arrivant au 4e RHFS, quel que soit son métier ou son grade, passe par le premier cycle M0 du cursus Orhas, qui comprend quatre modules M0 module d’accueil et d’introduction au nouvel environnement forces spéciales FS, avec mise à jour du pack Vital1 et des instruction décentralisée au sein des escadrilles, qui forment individuellement chaque nouvel équipier selon le type d’aéronef ou de matériel instruction inter-escadrilles rassemblant tous les spécialistes qui apprennent à travailler et à interagir avec un objectif commun former une unité d’action H4. À l’issue, ils participent à l’exercice du commandement des forces spéciales Terre - Gorgones - lequel dure trois instruction à la survie au combat et aux procédures d’exfiltration et de récupération en zone hostile, ouverte uniquement aux personnes identifiées comme étant les plus exposées aux risques cycle complet de trois moisMercredi 8 septembre, 21h30. Après trois jours passés à la citadelle de Bayonne, les stagiaires attaquent la phase tactique, avec une opération de nuit, au départ de Soustons Landes. Par trinômes, ils doivent rejoindre le point de contact partisan, qui leur remet les coordonnées de la zone de récupération. La population étant considérée comme hostile, ils progressent discrètement, avec à leur disposition une carte, un GPS et les procédures de contact. La fatigue se fait déjà sentir, les muscles sont douloureux, avec quelques blessures bénignes sur les parcours d’obstacles. Après deux heures de progression, les trinômes rejoignent la zone de jours à venir les mèneront sur d’autres activités rustiques, jusqu’à la mise en œuvre d’un Farp. Pour certains, comme les logisticiens, le cursus s’arrêtera à la fin du M1 avec l’obtention du brevet Ohras soutien opérationnel. Seuls 8 sur les 15 poursuivront jusqu’au M3 et obtiendront le brevet Ohras opérationnel. Au total, le cycle complet durera jusqu’au 14 novembre, soit trois mois. Chacun sera aguerri à la hauteur des exigences de son métier, prêt à l’appel des missions régiment à la croisée des cheminsUnique unité d’hélicoptères dédiée aux opérations spéciales, le 4e RHFS possède une identité plurielle régiment de l’ALAT, il est intégré au commandement des forces spéciales Terre COM FST et est employé par le commandement des opérations spéciales COS. Interarmées et interministériel, il dispose d’un état-major et de sept escadrilles, chacune dotée d’hélicoptères différents___________________________________ ____________________________________ Vive la Bretagne 81/06 et Eva aiment ce message AlexderomeAdmin Nombre de messages 4694Age 57Emploi A la recherche du temps perduDate d'inscription 22/10/2010Sujet Re L’escadrille des forces spéciales 2022-02-23, 0943 J’en ai fait des marches commando, treillis, sac à dos et rangers qui pesent 1kg chacune. Ce sont des P4 que l’on voit dans le 1er cliché? J’aimais bien les courses d’orientation. On nous l'argent en camion dans la plaine champenoise et il fallait rentrer au bivouac en pleine nuit. On avait une carte et une ____________________________________Ce que nous voulions nous ne le savions pas, et ce que nous savions nous ne le voulions von Salomon Les Réprouvés Je ne veux pas me faire ficher, estampiller, enregistrer, ni me faire classer puis déclasser ou numéroter. Ma vie m’appartient ». N°6 Le Prisonnier81/06, Eva et Michel aiment ce message MichelAdmin Nombre de messages 2713Age 63Emploi RetraitéDate d'inscription 09/10/2021Sujet Re L’escadrille des forces spéciales 2022-02-23, 1213 Des souvenirs Alex,oui les marches commando et les courses d'orientation. Peugeot P4 Lampe TL122D Armée française___________________________________ ____________________________________ Vive la Bretagne 81/06 aime ce message EvaAdmin Nombre de messages 3161Age 70Emploi Retraite Date d'inscription 01/02/2021Sujet Re L’escadrille des forces spéciales 2022-02-23, 1320 Merci pour ce topic,si bien agrémenté de photosAinsi que pour la vidéo ___________________________________ ____________________________________81/06 et Michel aiment ce message MichelAdmin Nombre de messages 2713Age 63Emploi RetraitéDate d'inscription 09/10/2021Sujet Re L’escadrille des forces spéciales 2022-02-23, 1334 Merci ____________________________________ Vive la Bretagne 81/06 aime ce message Commandoair40Admin Nombre de messages 25533Age 76Emploi Français Radicalisé .Date d'inscription 07/11/2014Sujet Re L’escadrille des forces spéciales 2022-02-23, 1951 Merci mon Michel et aux autres amis .De mon temps , c'était la Jeep , la Mat49 et le H34 .Mais de toutes époques , quel plaisir que ces aventures . ___________________________________ ____________________________________Sicut-Aquila “Nous avons entendu et nous savons ce que nos pères nous ont raconté, nous n’allons pas le cacher à nos redirons à tous ceux qui nous suivent, les œuvres glorieuses...” 81/06 et Michel aiment ce message MichelAdmin Nombre de messages 2713Age 63Emploi RetraitéDate d'inscription 09/10/2021Sujet Re L’escadrille des forces spéciales 2022-02-23, 2013 Merci JP, oui des souvenirs . ___________________________________ ____________________________________ Vive la Bretagne 81/06 aime ce message Contenu sponsoriséSujet Re L’escadrille des forces spéciales L’escadrille des forces spéciales Page 1 sur 1 Sujets similaires» Les Forces Spéciales !!!» Les forces spéciales» Les "Forces Spéciales" Françaises .» LES FORCES SPECIALES ESPAGNOLE le LES FORCES SPECIALES ESPAGNOLE le de ce forumVous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forumParas, bérets bleus, verts et rouges, tous unis ! HISTOIRE DE NOTRE PATRIE Les Régiments Terre/Air/MarineSauter vers
Depuis une trentaine d’années, ils sont de toutes les guerres, ou presque. Afghanistan, Libye, Centrafrique, Côte d’Ivoire, ex-Yougoslavie, Sahel les hélicoptères des forces françaises sont déployés en permanence en opérations extérieures, sur des théâtres très exigeants. Sur les quelque 300 hélicoptères de l’ALAT Aviation légère de l’armée de terre, une cinquantaine est en alerte permanente, et une vingtaine déployée au Sahel dans le cadre de l’opération Barkhane. Leurs missions ? Très larges renseignement, appui feu, extraction de soldats, frappes sur des groupes terroristes, manœuvres aéroterrestres. "L’hélicoptère permet d’entrer en premier sur un théâtre, avec un très faible préavis, et de frapper rapidement un ennemi en s’affranchissant des obstacles au sol", résume le général Bertrand Vallette d’Osia, patron de l’ALAT. Des hélicoptères de l’ALAT Tigre et Cougar se sont encore distingués les 6 et 7 février en mettant hors de combat, soutenus par un drone Reaper et des Mirage 2000, une trentaine de djihadistes dans la zone dite "des trois frontières", entre Mali, Burkina Faso et Niger. Quelques semaines plus tôt, dans la nuit du 20 au 21 décembre, un assaut héliporté, réalisé de nuit par plusieurs dizaines de commandos appuyés par des hélicoptères Tigre, mettait 33 terroristes hors de combat. "Couteau suisse des armées, la composante hélicoptères joue un rôle stratégique majeur, soulignait un rapport du sénateur Dominique de Legge publié mi-2018. Elle s'est en particulier avérée indispensable pour les forces spéciales, dans le cadre de l'opération Sabre, et plus généralement en bande sahélo-saharienne BSS, dans le cadre de l'opération Barkhane. En effet, l'utilisation des hélicoptères permet une grande mobilité et est indispensable pour l'exploitation, dans des délais très brefs, du renseignement." L'hélicoptère d'attaque Tigre de l'armée de terre photo Armée de terre Essentielles au dispositif français au Sahel, les missions des "ALATmen" sont aussi périlleuses. Les Tigre et autres NH90 Caïman volent à 250 km/h, le plus souvent à 40-50 mètres du sol, et à quelques dizaines de mètres les uns des autres. Déjà délicats de jour, ces vols tactiques le sont encore plus de nuit, des missions qui représentent 15 à 30% des sorties. Un accident n’est jamais exclu, comme l’a montré la collision du 25 novembre dernier entre un Tigre et un Cougar. En s’apprêtant à engager de nuit des groupes terroristes en pick-up et en moto, les deux hélicoptères français sont entrés en collision dans le Liptako malien, tuant les 13 occupants des deux appareils. "Un traumatisme pour la grande famille de l’ALAT, reconnaît le général Vallette d’Osia. Nous savons tous que nous faisons un métier dangereux. Mais il faut repartir de l’avant." Le Guépard en vue Repartir de l’avant, c’est notamment continuer la modernisation de la flotte, dont une partie commence à sérieusement fatiguer. Pour remplacer ses antiques Gazelle 33 ans de moyenne d’âge et ses préhistoriques Puma 44 ans en moyenne, l’armée de terre passe peu à peu à la nouvelle génération elle dispose désormais de 56 hélicoptères d’attaque Tigre, et de 44 hélicoptères de manœuvre Caïman. "La moitié de la flotte a déjà été renouvelée, on tient le bon bout, assure le général Bertrand Vallette d’Osia. Au-delà du remplacement des appareils, il faut aussi repenser leur emploi on ne fait pas la même chose aujourd'hui avec un Tigre qu’hier avec une Gazelle." L’étape suivante sera l’arrivée du Guépard, hélicoptère interarmées léger HIL, dont les premières livraisons sont attendues en 2026. L’ALAT attend 80 exemplaires de cette version militaire du H160 d’Airbus Helicopters. "Le Guépard permettra d’effectuer avec un même appareil des missions de feu, de reconnaissance, de transport", explique le patron de l’ALAT. Il permettra également de mettre progressivement au rebut les vieilles Gazelle, même si celles-ci ont encore de belles années devant elles. "C’est une machine qui a très bien vieilli, assure le général Vallette d’Osia, lui-même pilote de Gazelle. Nous n'en attendons pas moins avec impatience l'arrivée du Guépard." Le futur Guépard, hélicoptère interarmées léger, dont les premières livraisons sont prévues en 2026 photo Airbus Helicopters Faut-il compléter la panoplie avec des hélicoptères lourds, type Chinook ? Le Commandement des opérations spéciales COS et l’armée de l’air appellent régulièrement à l’acquisition ou à la location de telles machines, soulignant la dépendance française aux Chinook britanniques au Sahel. Mais le commandant de l’ALAT ne se montre guère enthousiaste. "D’abord, ce sont des machines qui coûtent cher, explique-t-il. Ensuite, nous sommes des spécialistes des hélicoptères moyens, des vols tactiques, donc rapides et manœuvrants. L’hélicoptère lourd ne répond pas à ce besoin. Il est utile pour les acheminements en opérations. Mais ça, ce n’est pas notre métier." Disponibilité trop faible Avant même de songer à d’éventuels hélicoptères lourds, l’armée de terre doit composer avec une flotte d’hélicoptères hétéroclite huit types d’appareils différents, et une disponibilité encore bien trop basse. Selon les derniers chiffres obtenus par la députée François Cornut-Gentille, les taux de disponibilité des engins de l’ALAT oscillaient entre 27 et 46% en 2018. En clair, entre la moitié et les deux tiers des engins de l’armée de terre sont indisponibles. Le Tigre, un appareil pourtant récent, plafonnait à 28-30% de disponibilité. Le Caïman, lui aussi de dernière génération, ne dépassait pas 30,4%. Seule la bonne vieille Gazelle surnageait, malgré son âge avancé, avec 46,2% de disponibilité. Les causes de ces mauvais chiffres sont multiples hétérogénéité de la flotte, organisation complexe de la maintenance, mauvaise interface entre armée et industriels, défaillance de certains prestataires privés et structures de maintenance des armées… L’ALAT en est réduite à bricoler. Elle arrive à maintenir un taux de disponibilité supérieur à 70%, voire 80% en OPEX, mais c’est souvent au détriment de la disponibilité des engins en métropole, et donc de l’entraînement des équipages. Pour briser le cercle vicieux, la ministre des Armées Florence Parly a lancé en décembre 2017 une grande réforme du maintien en condition opérationnelle MCO des hélicoptères. L’idée est de renforcer la coordination entre les armées et les industriels, et d'identifier pour chaque appareil un maître d’œuvre unique, responsable des coûts et des délais. "Evidemment, nous voudrions plus de disponibilité, mais le système, globalement, remonte en puissance", assure le général Vallette d’Osia. Si les chiffres de disponibilité de 2019 ne sont pas encore connus, les heures d’entraînement, un autre indicateur essentiel, sont reparties à la hausse. "De 154 heures d’entraînement par pilote et par an, nous sommes repassés à 171 heures en 2019, et visons 200 heures à la fin de la loi de programmation militaire en 2025 220 heures pour les pilotes des forces spéciales", assure le COMALAT. Référence mondiale Malgré les tensions sur le matériel et les équipages, le patron de l’ALAT assure que l’'aérocombat' à la française est devenu une référence mondiale. Il ne s’agit plus seulement d’appuyer les troupes au sol, mais de manœuvrer en synergie avec l’infanterie et la cavalerie, pour surprendre et désorienter l'ennemi. "Nos résultats en opérations sont reconnus dans le monde entier, indique le général Vallette d’Osia. Même les Américains sont très intéressés par ce que nous faisons." Les ALATmen ont déjà montré leur flexibilité. En 2011, les hélicoptères de l’ALAT avaient été déployés depuis le porte-hélicoptères Tonnerre en 41 raids donnant lieu à 316 sorties, les hélicoptères Gazelle et Tigre avaient tiré 425 missiles HOT, 1618 roquettes et obus, détruisant 600 cibles militaires, dont 400 véhicules. Une bonne partie des frappes avaient été effectuées par nuit sans lune, à l’aide de jumelles de vision nocturnes. Une Gazelle sur le pont du BPC Tonnerre, pendant l'opération Harmattan en Libye en 2011 photo Armée de terre L’ALAT, créée en 1954, est une véritable PME au sein de l’armée de terre. Elle intègre notamment trois régiments d’hélicoptères de combat 1er, 3e et 5e RHC, un régiment d’hélicoptères des forces spéciales 4e RHFS, dépendant du Commandement des opérations spéciales pour son emploi, une école dédiée Ecole de l’aviation légère de l’armée de terre, un régiment de soutien 9e régiment de soutien aéromobile, et un petit détachement d’avions dédiés à l’aide au commandement 8 TBM700. Avec 220 équipages opérationnels, militaires dont environ mécaniciens, elle réalise heures de vol par an.
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